Burkina Faso

 

Projet 2016 à 2019: Coordination Intersectorielle Burkinabè pour L’Emploi – CIBLE travail décent

 

Partenaire: Unité d’action syndicale (UAS)

 

Durée du projet: 2016 à 2019

 

Contribution financière: Ministère des Relations Internationales et de la Francophonie (MRIF)

 

Objectifs: Faire valoir et reconnaître les revendications des travailleuses et travailleurs de l’économie informelle dans le cadre du dialogue entre le gouvernement et les syndicats

 

Activités:

  • Appui à l’organisation des travailleuses et travailleurs du secteur informel
  • Formations sur le travail décent
  • Formations techniques liées à leur métier

 

Pour plus de détails sur le projet, voir ces articles:

 

 

Projet 2013 à 2015: Appui à l’organisation de l’économie informelle au Burkina Faso

 

Partenaires:

  • Association Marche mondiale des femmes/Action nationale du Burkina Faso (MMF/ANBF)
  • Confédération générale du Travail du Burkina (CGT-B)
  • Confédération nationale des travailleurs du Burkina (CNTB)
  • Confédération syndicale burkinabée (CSB)
  • Force ouvrière/Union nationale des syndicats libres (FO/UNSL)
  • Organisation nationale des syndicats libres (ONSL)
  • Syndicat national des enseignants africains du Burkina (SNEA-B)
  • Syndicat national des enseignants du secondaire et du supérieur (SNESS)
  • Union syndicale des travailleurs du Burkina (USTB)

 

Durée du projet: 2013 à 2015

 

Contribution financière: Organisations membres du CISO

 

Objectifs:

  • Consolider la concertation des organisations syndicales et de la MMF en regard de la défense des droits des travailleuses et des travailleurs de l’économie informelle.
  • Renforcer les capacités syndicales et associatives des partenaires pour la prise en compte la situation des travailleuses et des travailleurs de l’économie informelle.
  • Améliorer la situation des travailleuses et des travailleurs du secteur de l’économie informelle, particulièrement celle des femmes et des jeunes, par la mise en œuvre d’initiatives les ciblant spécifiquement et directement, par exemple : des sessions de formation sur les droits fondamentaux du travail, les droits des femmes et des enfants, le Code du travail burkinabé, le fonctionnement des organisations syndicales et sociales; actions de plaidoyer, etc.
  • Renforcer les capacités du réseau de formatrices et de formateurs au sein des organisations partenaires.