Mission et actions
La mission du CISO est de développer la solidarité internationale en renforçant les liens entre les travailleuses et travailleurs d’ici et d’ailleurs en lutte pour le respect de leurs droits, pour de meilleures conditions de travail et pour l’instauration d’une société plus juste et plus démocratique.
La promotion et la défense des droits des travailleuses et travailleurs (notamment le droit du travail, la garantie des droits du travail, le développement et la défense des protections sociales, la promotion du dialogue social, salaire décent, etc.), est l’axe transversal autour duquel s’articulent la mission et les activités du CISO.
Lieu essentiel de convergence de l’action syndicale québécoise, le CISO œuvre à développer la solidarité internationale au sein du mouvement syndical et populaire québécois, contribue à la diffusion d’une information alternative sur les questions internationales et appuie des projets concrets de coopération et de solidarité avec des partenaires du Québec et à l’international.
AXES DE TRAVAIL
Éducation
L’éducation à la solidarité internationale constitue l’axe central du travail du CISO. Ce travail d’éducation se fait à travers la formation, la production d’outils pédagogiques, l’organisation de stages, de missions d’observations, tournées, conférences, dîners causeries, campagnes thématiques, le tout, en lien avec des projets de coopération conçus et réalisés dans une perspective de convergence et de complémentarité intersyndicale.
Coopération
Les projets de coopération sont des moyens concrets de réaliser nos objectifs de solidarité avec les travailleuses et les travailleurs du Sud. Dans la mesure du possible, ils favorisent l’action intersyndicale et portent sur des enjeux liés au travail et à l’organisation syndicale.
Coalition québécoise contre les ateliers de misère (CQCAM)
La CQCAM est une table de concertation du CISO. Elle s’est donnée pour mission de sensibiliser la population à l’existence des ateliers de misère et de développer des alternatives concrètes pour contrer la prolifération de ces ateliers, au Sud comme au Nord. Une des alternatives qu’elle a identifiée consiste à promouvoir l’adoption de politiques d’achat responsables.